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Posted on July 26 2013

Des injections qui auraient été pratiquées dix minutes avant la mort de l’adolescente selon l’expert.La thèse du viol pas retenue Autre conclusion avancée par la professeur Dominique Lecomte, après avoir été droguée, Kalinka serait morte étouffée, par ses propres vomissements, ou par "une stimulation douloureuse d'ordre génital ou bucal".La thèse du viol sous sédatif, défendue par les parties civiles, notamment André Bamberski, le père de Kalinka, n’a pas pu être prouvée. En 1985, lors de l’exhumation du corps pour une contre-expertise, les médecins légistes français ont découvert que le vagin avait été prélevé, empêchant toute conclusion de viol.Mais les témoignages accablants contre Dieter Krombach ont fait peser cette accusation sur le médecin allemand. Notamment, le récit de Barbara Fermor, une ancienne patiente toxicomane, à qui, selon elle, le docteur Krombach a administré un sédatif puissant avant de la violer. • Dieter Krombach est un menteur et un manipulateurSes contradictions Depuis le début de l’enquête, Dieter Krombach modifie le scénario de la nuit du meurtre à chaque audition. lancel soldessac lancel pas cher
En 1983, il évoque une injection de fer administrée la veille pour aider Kalinka à bronzer. En 1990, c’est devenu une visite dans sa chambre, avant le coucher, pour lui donner un somnifère. Dans le box des accusés à Paris, il évoque pour la première fois l’idée que c’est Kalinka qui est venu le voir en pleine nuit pour obtenir un médicament.Un accusé instable Son attitude pendant le procès a été tout aussi troublante. Interrogé après chaque mise en cause flagrante, il s’est contenté de répondre simplement "non" à la présidente. Mis face à ses contradictions révélés par les experts, il réplique simplement : "Les experts ne sont pas des dieux (.. sac lancel solde .) je suis désolé, les experts se trompent". La justice française en prend elle aussi pour son grade, accusée d’avoir monté "un complot contre lui ". Enfin, il s’en prend à son vieil ennemi, le père de Kalinka, André Bamberski, qui aurait, selon Krombach, payé les témoins venus dénoncer les viols.Le malade imaginaire Initialement programmé en avril 2011, le procès avait été reporté suite au malaise de Dieter Krombach après deux jours d’audience. Dès sa reprise le 4 octobre, ses avocats dénonçaient des conditions de détention indignes de son état de santé, appuyés par les enfants du médecin qui le jugent trop faible pour comparaitre.Le 19 octobre, à deux jours du verdict, c’est pour trouver des compléments d’information que ses conseils veulent un report de l’audience de 48 heures. sac lancel adjani
Des demandes toutes rejetées par la présidente Xavière Simeoni. "Le procès doit avancer", se justifie la magistrate.• L’Allemagne a joué un rôle troubleUne première enquête bâclée Dès le début de l’affaire, les autorités allemandes ont eu un comportement curieux. Ainsi le corps de Kalinka a bien été autopsié, mais le médecin légiste n’a trouvé utile ni de prélever les "substances" retrouvées dans le sexe de Kalinka, ni d’effectuer des prélèvements sanguins. Impossible dès lors, à l’époque, de prouver le viol ou l’empoisonnement.Par ailleurs, comme on l’a constaté lors de l’exhumation du corps de la victime en 1985, le fait que le vagin de Kalinka ait disparu met directement en cause les légistes allemands.Une justice sourde Face aux manques de preuve, en 1987, lors de son premier procès, Dieter Krombach a été relaxé par la justice allemande.

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